Exploration sexuelle

Nos conseils

Explorez avec nous les multiples facettes de la sexualité. Notre blog offre des informations utiles du Kamasutra au BDSM, en passant par l'utilisation judicieuse des sextoys et des techniques pour raviver la passion dans votre couple. Apprenez à mieux comprendre l'anatomie masculine et féminine et découvrez des conseils sexo pour enrichir votre intimité.
Que vous soyez novice ou averti, nos articles sont là pour inspirer, éduquer et guider vers une expérience sexuelle plus épanouissante. Rejoignez notre aventure pour transformer votre vie sexuelle en un voyage de découverte et de plaisir.

Nos conseils – L'équipe Goliate

La technique de l'alignement coital pour augmenter son plaisir

La méthode du CAT, pour coïtal alignement technique, se joue durant la pénétration et plus particulièrement la position du missionnaire. Grâce à elle, les femmes peuvent découvrir de nouvelles sensations et des orgasmes plus intenses. Pourquoi tester la technique de l’alignement coïtal ? Le sexe pénétratif a beaucoup de qualités, mais il a aussi un défaut : à force de va-et-vient, le plaisir féminin se sent parfois mis de côté. En effet, plusieurs études nous montrent que la pénétration seule n’est pas idéale pour atteindre l’orgasme. Cela ne signifie pas qu’il faut l’éviter, seulement qu’une double stimulation – on inclut alors des caresses vulvaires et clitoridiennes – est la bienvenue. Et la méthode du CAT – CAT pour coïtal alignment technique – s’y emploie : cette pratique propose aux deux partenaires de quitter les schémas pénétra tifs habituels et de réinventer la pénétration pour davantage de plaisir et de fusion. La méthode du CAT ou comment se positionner pour maximiser le plaisir C'est une approche qui a fait son chemin dans le monde de l'intimité, et pour de bonnes raisons. Originaire des recherches du Dr. Beverly Whipple, une sexologue Américaine, cette technique met l'accent sur le positionnement optimal pendant les rapports sexuels pour maximiser la stimulation clitoridienne. En gros, c'est une manière de redéfinir la position du missionnaire. L'histoire derrière la technique La technique de l'alignement coïtal n'est pas simplement une nouvelle tendance passagère. Elle a des racines profondes dans la recherche scientifique. Dans les années 1980, le Dr. Whipple, en collaboration avec le Dr. Barry Komisaruk, a commencé à étudier la physiologie de l'orgasme féminin. Leur travail a révélé que le clitoris joue un rôle central dans le plaisir féminin, et que sa stimulation directe ou indirecte peut conduire à des orgasmes plus intenses et satisfaisants. Comment réaliser l’alignement coital ? La technique elle-même est assez simple. Lors des rapports sexuels en position de missionnaire, l'homme se positionne légèrement plus haut sur le corps de la femme. Cela permet une pression et une friction accrues sur le clitoris. Le mouvement n'est pas tant un va-et-vient typique, mais plutôt un mouvement de balancement ou de meulage. Cela favorise une stimulation clitoridienne constante, augmentant ainsi les chances d'atteindre l'orgasme pour la femme. Alors, la prochaine fois que vous cherchez à pimenter les choses dans la chambre, pourquoi ne pas essayer la technique de l'alignement. Alors concrètement, ça se passe comment ? Pour pratiquer la méthode du CAT, on se… pénètre (pour commencer). Mais cette fois, on quitte nos habitudes. Plutôt que d’aller et venir (on connaît), on joue de nos bassins et on ondule ensemble. Pour cela, le partenaire, placé au-dessus, s’allonge sur sa partenaire. S’il ne doit pas l’écraser (ce serait dommage), il ne doit pas hésiter à s’affaler un minimum, l’idée étant d’être très proches et collés. La partenaire, en-dessous, tendra les jambes et ne les écartera pas beaucoup. L’important à retenir, c’est que les deux corps sont ainsi alignés. Et ils doivent être alignés, comme le précise le nom de la technique. Ensuite, on remue nos corps. En d’autres mots, on se tortille. Une pratique qui invite à la stimulation des parois vaginales (bien souvent négligées quand il s’agit d’aller droit au fond du tunnel) et de la vulve, puisque les pubis sont en contact. Et on le sait, le gland du clitoris, qui se situe au sommet de la vulve, aime être de la partie ! Et comme toujours, pour plus de douceur, on fait ça avec un joli lubrifiant naturel des familles. L’alignement coital, ce n’est pas pour tout le monde non plus À noter tout de même que pour les filles qui sont très sensibles du clitoris, cette technique est peut-être à éviter ou à tester avec beaucoup de douceur. En effet, même si c’est à la mode, c’est possible que tu n’aimes pas les sensations et c’est complètement ok. Mais, il y a plein de personnes pour qui cette technique reste une excellente idée pour pimenter sa vie sexuelle. Les curieux du plaisir Si vous êtes du genre à toujours chercher de nouvelles façons d'explorer et d'améliorer votre vie intime, cette technique est faite pour vous. Que vous soyez en couple depuis des années ou que vous veniez de rencontrer quelqu'un, l'alignement coïtal est une excellente façon de redécouvrir le plaisir à deux. Les adeptes du renouveau Vous en avez marre de la routine ? Vous avez l'impression d'avoir tout essayé ? L'alignement coïtal pourrait bien être cette petite étincelle qui rallume la flamme. C'est une méthode simple, mais qui peut apporter un renouveau dans votre intimité. Les sceptiques du clitoris Si vous ou votre partenaire avez toujours eu du mal à comprendre l'importance du clitoris dans le plaisir féminin, c'est l'occasion de le découvrir. Cette technique met l'accent sur la stimulation clitoridienne, et pourrait bien vous faire changer d'avis sur son rôle central. Les amoureux du partage vont adorer La technique de l'alignement coïtal n'est pas seulement pour le plaisir de la femme. C'est une expérience partagée, où les deux partenaires peuvent ressentir une connexion plus profonde et un plaisir mutuel. Alors, toi-aussi tu vas tester la méthode du CAT ?  

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LE VAGINISME : QUELLES SOLUTIONS POUR EN SORTIR ?

Dû à une contraction musculaire involontaire des muscles qui entourent le vagin, le vaginisme rend la pénétration douloureuse voire impossible. Comment le traiter et retrouver une vie sexuelle épanouissante ? D’où vient le vaginisme ? Derrière le terme vaginisme, il y a celui de vagin. Mais le vaginisme n’est pas un problème de vagin, ni non plus un problème gynécologique ; généralement, le vagin se porte bien. Le vaginisme est un trouble sexuel lié à une contraction involontaire des muscles qui entourent le vagin. Qu'est-ce que le vaginisme ? Le vaginisme, c'est cette réaction involontaire des muscles entourant l'entrée du vagin, qui se contractent, rendant la pénétration inconfortable, voire impossible. Plus qu'une simple réaction physique, c'est un mélange complexe d'émotions, d'influences culturelles et de facteurs psychologiques. Des idées préconçues sur la sexualité, des traumatismes passés ou simplement la peur de la douleur peuvent en être à l'origine. Mais chaque expérience est unique, et il est essentiel de se rappeler que le vaginisme ne se définit pas par une liste de symptômes. Les signes révélateurs du vaginisme Le symptôme le plus courant ? Une difficulté, voire une impossibilité, à accepter une pénétration sans douleur. Mais cela va au-delà de la simple douleur physique. Cela peut engendrer une appréhension face à l'intimité, une image corporelle altérée et une sensation d'être hors de contrôle. Qu’est ce qui se cache derrière le vaginisme ? Cette contraction empêche alors la pénétration. C’est comme si le vagin se refermait. Médicalement parlant, on distingue le vaginisme partiel (à ce moment-là, le sujet n’a aucune difficulté à insérer un tampon, une cup, un ovule, seule la pénétration coïtale est rendue impossible) du vaginisme total (dans ce cas, toute « intrusion » est impossible), mais aussi le vaginisme primaire (présent depuis toujours) du vaginisme secondaire (qui survient plus tard au cours de la vie, alors que tout allait bien jusqu’ici). Mais pourquoi les muscles du périnée se verrouillent-ils et comment traiter le vaginisme ? Peur d’avoir mal et peur du pénis Quand on parle de vaginisme, on parle donc de contraction réflexe des muscles du vagin : on « voudrait » faire l’amour, mais quelque chose bloque, le corps refuse. En cause, souvent, des dyspareunies, c’est-à-dire des douleurs pendant les rapports. A force de douleurs, d’une pénétration mal vécue, le vagin choisit de se fermer pour ne pas « revivre » cette expérience. Dans d’autres cas, on peut évoquer au sens large la peur du pénis, due à une vision déformée du sexe masculin (on l’imagine très gros, tandis qu’on imagine son vagin tout petit), des abus sexuels qui ravivent chez le sujet une peur de souffrir. Nous pouvons aussi questionner le regard que l’on pose sur la sexualité, ou bien ce que l’on a entendu sur la sexualité. Une femme, par exemple, qui estime que le sexe est « sale », peut souffrir de vaginisme dans la mesure où elle ne s’autorise pas la sexualité. Bien entendu, tout cela ne signifie pas que des dyspareunies, un abus sexuel, ou encore une vision « négative » de la sexualité entrainent forcément du vaginisme. Quelles solutions pour traiter le vaginisme ? Sans dire que le vaginisme est purement « dans la tête », il convient d’admettre, tout de même, son caractère psychologique, si bien qu’un suivi psy peut être d’une grande aide. Mais il existe d’autres solutions parallèles pour en sortir et réapprivoiser son corps. A savoir, déjà, que le vaginisme n’empêche pas toujours une sexualité épanouie : la pénétration est, à tort, la pièce maîtresse du rapport sexuel. Or, on peut prendre du plaisir en pratiquant une sexualité dite « de préliminaires », grâce à des caresses externes, notamment via une stimulation de la vulve (et donc du gland du clitoris), des seins, du ventre… Cette « façon de faire » permet aux femmes de se détendre, de lubrifier, et de réaliser que leur corps est toujours de la partie. Un constat positif plus qu’utile à la guérison. Se soigner du vaginisme pas à pas Ensuite, les spécialistes suggèrent généralement de prendre son temps : les muscles du vagin, s’ils se contractent, ne se contractent pas pendant des heures durant. Lors d’un rapport de confiance, avec du lubrifiant, de la douceur et des caresses externes pour s’apaiser, il est possible de « jouer » à l’entrée du vagin. C’est aussi à envisager avec des baumes intimes naturels comme celui de chez Goliate, qui aident même à apaiser. L’idée n’est pas du tout de forcer le passage, mais de montrer à son corps, centimètre par centimètre, qu’il peut se détendre. Le vagin est tel un collant : c’est quand on met la jambe dedans qu’il s’ouvre. Même si oui, ici, on ne parlera pas de jambe (ambiance) mais d’un doigt, puis d’un pénis. Si, bien entendu, la douleur est présente et la pénétration impossible, on reprend la sexualité de préliminaires, on s’amuse autrement, pour ne pas perdre en confiance. Des solutions concrètes pour se soigner du vaginisme Le chemin vers la guérison est multidimensionnel, tout comme le vaginisme lui-même. Voici quelques étapes pour vous guider : Consultez un professionnel : Un gynécologue est souvent le premier pas vers la compréhension et le traitement. Kinésithérapie spécialisée : Un kiné spécialisé en pelvi-périnéologie peut vous aider à reconnecter avec votre corps. Dilatateurs vaginaux : Sur conseil médical, ces outils peuvent aider à familiariser votre corps avec la pénétration. Hypnothérapie : Si le blocage semble être d'ordre psychologique, l'hypnothérapie peut être une voie à explorer. Enfin, la masturbation reste aussi une piste à explorer : la peur du pénis et, parfois, la peur d’un rapport trop virulent, expliquent en partie le vaginisme. La masturbation permet alors, en solo, de partir à la rencontre de son corps et de se rassurer : ça va, ça se passe bien. Une « victoire » qui invite, ensuite, à partager un rapport sexuel dans une nouvelle dimension. Si, à deux, ça bloque encore et toujours, il convient alors de faire le point : qu’est-ce qui me gêne dans cette configuration ? Dans la pratique de la pénétration ? Des éléments de réponse à partager ensuite avec un spécialiste le cas échéant.

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